
A s'asseoir sur un banc
de Yann Guerchanik
Assis sur le banc, à bonne distance l'un de l'autre, Yves et Vincent dégustent leur casse-croûte. Il ne se connaissent pas, ils s'ignorent. Un « bonjour » poli, deux fugaces « Il fait beau » « Très beau, en effet » et puis c'est tout. Jusqu'au moment où le spectacle de la rue provoque leur rire complice. Tour à tour, Yves et Vincent se mettent à décrire les passants, à en caricaturer l'allure et le comportement. Ce faisant, ils échangent, ils lient conversation. Le dialogue se fait de plus en plus intime et porte bientôt sur des considérations profondes. Les deux hommes s’apprivoisent. Ils se confient à présent sur les évènements qui ont bouleversé leur vie. Des évènements qui éclairent d'un jour nouveau leur existence et qui font, précisément, que tous deux se retrouvent sur ce banc à cet instant.

Distribution
Ecriture, Mise en scène
Yann Guerchanik
Coach mise en scène
Julien Schmutz
Jeu
Yves Jenny
Vincent Rime
Son et lumières
François Gendre
Administration
Emmanuel Colliard
Photos
Jean-Baptiste Morel
Production
Cie Primo d’abord
Co-production
Equilibre-Nuithonie – Fribourg
Association Midi théâtre
Avec le soutien de
Corodis
Fondation Philanthropique Famille Sandoz
Schweizerische Interpreten Stiftung
La Ville de Bulle

De gauche à droite : Julien Schmutz, Yves Jenny, Yann Guerchanik et Vincent Rime
Calendrier de jeu
Nuithonie, Villars-sur-Glâne
5, 6 et 7 décembre 2022
Le Pommier, Neuchâtel
8 décembre 2022
Nebia, Bienne
9 décembre 2022
CCDP, Porrentruy
12 décembre 2022
Théâtre du Jura, Delémont
13 décembre 2022
Ferme-Asile, Sion (Le Spot)
14 décembre 2022
Crochetan, Monthey
15 décembre 2022
Casino théâtre, Rolle
16 décembre 2022
Le Reflet, Vevey
20 et 21 décembre 2022
Théâtre Benno Besson, Yverdon-les-Bains
22 décembre 2022
Reprise
avec les Zita Felixe en 1ère partie
L'Arbanel, Treyvaux
9 décembre 2023
Presse
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Avant-première de la Gruyère du 1er décembre 2022

Avant-première de la Liberté du 1er décembre 2022

Critique d'Eric Buillard dans la Gruyère du 6 décembre 2022

Critique d'Elisabeth Haas dans la Liberté du 7 décembre 2022